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France & Belgique francophone
Quel projet ecclésial ?   

Le projet ecclésial de la MIVICA est d'accueillir des communautés qui veulent concilier une démarche de foi chrétienne et catholique - avec un esprit d'ouverture au monde et à la société contemporaine, sans jugement ni exclusion. ​Ce projet peut se résumer schématiquement de la façon suivante  :

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Réaliser à terme en France et en Belgique francophone une Eglise "vieille-catholique" à part entière qui fonctionne sur les mêmes bases que les autres Eglises de l'Union d'Utrecht, en associant le clergé et les laïques dans toutes les responsabilités et les prises de décision (démarche épiscopale et synodale)

1.

Pour atteindre cet objectif, la MIVICA doit mettre en place une organisation et des structures pour assurer son développement avec l'aide de l'évêque-délégué mandaté par la Conférence internationale des évêques

2.

Pour construire une réalité ecclésiale vieille-catholique, la MIVICA ne doit pas sans se laisser enfermer dans des protestations et des polémiques qui entretiennent un climat de défiance et nuisent à la mise en oeuvre de vrais partenariats oecuméniques

3.

Favoriser une implication personnelle et communautaire de chaque membre de la MIVICA, clergé et laïques, par une adhésion formelle, une participation régulière aux rencontres, aux formations, etc. Le clergé et les délégués laïques nommés par chaque communauté doivent également participer à l'Assemblée synodale annuelle. Tous doivent veiller au versement d'une cotisation, soit par l'intermédiaire de leurs communautés, soit personnellement auprès de la MIVICA

4.

Ce projet pastoral n'entend pas se limiter au cultuel (messes), mais à constituer de véritables communautés locales dans lesquelles tous peuvent participer, par des rencontres amicales, des repas, des temps spirituels et culturels, des engagements sociaux (diaconie) au service des plus démunis, ouverts à la vie et au monde pour témoigner de l'Evangile, etc.

5.

Ce projet pastoral n'a rien à voir avec les groupes plus ou moins marginaux qui s'intitulent abusivement du nom de "vieux-catholique" pour justifier leur existence, en tenant des  positions traditionalistes ou conservatrices, très éloignées de celles des Eglises vieilles-catholiques de l'Union d'Utrecht. 

6.

Ce projet implique un partenariat oecuménique habituel et suivi avec les Eglises en communion ou en dialogue avec l'Union d'Utrecht comme la Communion anglicane et l'Eglise épiscopalienne en Europe), l'Eglise luthérienne de Suède, les Eglises orthodoxes et avec l'Eglise catholique-romaine dans la mesure où elle le souhaite 

7.

Ce projet implique aussi un partenariat ouvert avec les autres religions, le monde associatif et la société civile en général, dans une démarche respectueuse de la laïcité et de l'engagement des personnes non croyantes ou agnostiques 

8.

Conférence des Evêques vieux-catholiques de l'Union d'Utrecht

Conférence des évêques vieux-catholiques (CIE/IBK pour Internationale Altkatholische Bischofskonferenz) 

 

au premier rang (de gauche à droite) : évêque Wiktor Wysoczanski (Varsovie/Pologne), archevêque Joris Vercammen (Utrecht/Pas-Bas), évêque Harald Rein (Berne/Suisse), évêque Dirk Jan Schoon (Haarlem/Pays-Bas)

 

Au deuxième rang : évêque Heinz Lederleitner (Vienne/Autriche), évêque Matthias Ring (Bonn/Allemagne), évêque Pavel Benedikt Stransky (Prague/République Tchèque)

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